Guillaume Delaage

TRACES D’UN PASSÉ OUBLIÉ

30/05/2015

La revue Nature du 28 mai 2015 annonçait la découverte d’une nouvelle espèce d’australopithèque, vielle de 3,4 millions d’années, située en Ethiopie à la même époque que la célèbre Lucy. Les fragments osseux sont également contemporain de plusieurs autres hominidés qui peuplaient alors ce qui allait devenir le continent africain. La découverte consiste en quelques restes de mâchoires et de dents.

Avec ce nouvel hominidé, les paléontologues vont devoir allonger l’arbre généalogique du pliocène moyen déjà très fourni. Plusieurs espèces ont donc vécu au même moment dans cette région de l’Afrique de l’Est.

Au regard des informations transmises par l’Enseignement hermétique, nous pouvons constater que cette région qui est aujourd’hui l’Ethiopie, n’a presque jamais subie d’effondrements géologiques, comme ce fut le cas pour d’autres terres du globe.

Ainsi que je le mentionne dans mon livre « Le Choix atlante » : « La Doctrine Hermétique est formelle : il n’y a pas de chaînon manquant entre l’homme et le singe mais le premier est le créateur du second et les hominidés, comme Lucy, Toumaï et d’autres (que l’on n’a pas encore découverts), ne sont que la race semi-animale et semi-humaine de la fin de la Lémurie. Cette engeance vécut dans des endroits isolés pendant des millénaires et les paléontologues les présentent aujourd’hui, comme « les traces de nos lointains ancêtres ».

La partie Est de l’Afrique, comme d’autres territoires du monde n’a presque pas bougé depuis des millions d’années. C’est aussi pour cette raison que ces terres sont un vivier où gisent les restes de ces espèces australopithèques. Les paléontologues pourront s’évertuer à chercher le chainon manquant entre le singe et l’homme, en vain.

Les hominiens font partie de ces races muettes comme celles des yétis de l’Asie du Sud-est ou encore les fameux sasquatchs ou Big-foot. Ces espèces ne sont que les survivances des croisements effectués dans la lointaine Lémurie ou encore à l’époque de la première Atlantide.

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Plus récemment encore, à Taiwan, un pêcheur vient de découvrir la mâchoire d’une espèce encore inconnue, au large des îles Penghu. Les chercheurs du musée des Sciences naturelles de ce pays sont formels: ce morceau de mâchoire inférieure n’appartiendrait à aucune espèce humaine connue à ce jour.

Durant quatre ans des scientifiques australiens et japonais ont travaillé sur ces ossements et ont conclu qu’il s’agissait d’un individu de 1,60m, qui se distingue des autres groupes humains, car il ne rentre dans aucune catégorie. Il s’agirait donc d’une nouvelle espèce !

Aux vues de l’analyse du fluor et du sodium sur l’ossement, on se trouverait en présence d’un spécimen qui aurait vécu entre 10.000 et 190.000 ans. Là encore, notons que la région de Taiwan fait partie des terres qui n’ont pratiquement pas subi de bouleversements géologiques notables, selon l’Enseignement hermétique. Le spécimen découvert ferait donc partie de ces mêmes espèces qui vivaient encore il y a plusieurs milliers d’années et qui se sont peu à peu éteintes.

Toutefois un mystère demeure. Cet « homme de Penghu » se rapproche de très près de l’homme moderne. Faisait-il partie de ces espèces hominiens dégénérés dont il vient d’être question (compte tenu de sa morphologie) ou d’un groupe humain atlante ?

On se souvient, dans l’archipel de Penghu, d’anciennes traditions locales qui évoquent une vieille civilisation qui aurait été engloutie près de l’îlot de Hujing. Peu de choses nous sont rapportées concernant ces régions asiatiques depuis la découverte des structures sous-marines de Yonaguni. Pourtant cette partie de l’Océan Pacifique recèle des richesses archéologiques insoupçonnables.

Avec le cœur